Internet, pas si mauvais pour la mémoire
La théorie de la « mémoire transactive » date des années 1980 et suggère que la mémoire du groupe est supérieure à la somme des mémoires individuelles.
D’après cette théorie, les individus peuvent stocker et distribuer l’information de façon collective : ce stock commun de connaissances permet à chacun d’accéder à une information qu’il ne connaît pas, mais dont il sait qu’un membre du groupe la connaît. C’est la même chose avec Internet : nous développons une « mémoire transactive » qui se focalise sur le lieu où l’information est stockée et non sur l’information elle-même.
Votre commentaire